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18 juillet 2016 1 18 /07 /juillet /2016 23:24

Ok, je commence à comprendre. Ca ne sert plus à rien de m'agiter dans tous les sens, de partir à la recherche de je ne sais quoi. Il n'y a rien de plus à faire, rien de plus à avoir, nul part en particulier où aller. En vérité, j'ai déjà l'essentiel de ce dont j'ai besoin. Quand je ressens un manque, ce n'est qu'excuse pour ne pas voir la vérité en face. Fondamentalement, j'ai tout ce qu'il me faut. Je dois seulement apprendre à apprécier ce que j'ai, apprendre à apprécier ce que je suis.
A partir de là, je n'ai qu'une chose à faire. M'installer dans un bel endroit, respirer, prendre le temps de sentir le vent qui me traverse, d'observer le soleil qui se couche, puis me laisser emporter par le ciel étoilé. Juste apprécier ce putain d'instant présent. Ca me fait chier, mais dans le fond je n'ai rien de mieux à faire. Et je suis forcé d'admettre que ça me fait le plus grand bien. D'apprendre à apprécier la vie.

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18 juillet 2016 1 18 /07 /juillet /2016 23:23

Imaginez. Vous avez un train qui vous ramène chez vous, seulement il est en retard et vous vous impatientez, agacé d'attendre sur le quai de la gare. Imaginez alors qu'un génie apparaît, et vous propose non pas de vous téléporter chez vous, mais de faire un saut temporel vous emmenant directement dans l'instant futur où vous seriez arrivé chez vous, permettant alors de ne pas vivre ce pénible moment d'attente. Seriez vous tenté d'accepter l'offre ?

Plus tard sera mieux, faisons passer le temps jusqu'à ce que plus tard arrive. Mais Si je refuse la vie d'aujourd'hui, accepterai-je celle de demain ?

Dans des moments où je trouve la vie peu attractive, je suis tenté de regarder dans mes planifications futures, et de trouver un évènement qui me permettra de me rendre heureux. Cela peut être des vacances, l'acquisition d'un nouvel objet, ou même la soirée entre amis de ce soir. Et peut être est-ce vrai, que ça ira mieux plus tard.
Cependant, vers où cela nous mène de refuser d'apprécier sa vie d'aujourd'hui, sous prétexte d'un meilleur demain ? On refuse de vivre. On juge que dans certains moments, on ne peut rien attendre de la vie. Alors on se distrait en attendant, on développant l'idée que l'on peut trier les moments de l'instant présent que l'on a envie de vivre ou non, en fonction de notre bon vouloir. Finalement ce génie existe, n'est-ce pas ? Quand je me distrait, non pas pour faire du bien, mais pour faire passer le temps, que suis-je en train de faire ? Que dire du succès de candy-crush dans les rames de métro ?
Et puis, quel message est-ce que j’envoie à mes cellules, quand je me dis que cet instant ne vaut pas la peine d'être vécu ? "Ne faites rien, ne vous fatiguez pas, j'ai pas besoin de vous il se passe rien, en ce moment la vie est parfaitement inintéressante". Qu'on ne s'étonne pas de manquer d'énergie !

Je ne m'inquiète pas, le futur prend son temps pour arriver. Alors en attendant, autant vivre pleinement l'instant présent. Demain sera d'autant plus riche que tu t'enrichisses de cette journée d'aujourd'hui. J'arrête de chercher mon salut dans le futur. Le salut du futur réside dans le vécu du présent.

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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 14:21

Distorsions intérieure, entre ce que je veux être, ce que je crois être, ce que mon observation me fait croire que je suis, et ce que je suis réellement.

Motivé par un désir de correspondre à mon idéal, je m'efforce en vain à être ce que je veux être. Et comme mes désirs et mes aspirations profondes ne sont pas alignés, je ne fais rien. Déçu, j'observe mes échecs, et j'alimente encore de nouvelles croyances erronées sur qui je suis. Alors je cherche une issue, un nouveau regard, une nouvelle attitude. Mais encore une fois, enfermé dans le filtre de ce que je crois bon ou mauvais. Alors je navigue, enfermé dans le cadre de ce que je crois bénéfique, et je me blâme dès que j'en sors, sans réel fondement. Je fais mille effort pour tenter de rester dans le droit chemin. Mais existe-t-il réellement un droit chemin ? Peut être, mais alors je le crois bien éloigné de nos conceptions mentales.

Les croyances sur soi est la plus terrible des prisons. Alors j'arrête ma rigidité, et j'entre dans la guérison. Je fais de mon mieux pour laisser tomber un maximum de croyances sur qui je suis, sur ce que je devrai faire. Je fais de mon mieux pour lâcher prise sur l'image que j'ai de moi même. Je prends du recul sur le présent, je prends conscience du passé, du futur. Les pensées, les émotions, quittent le cadre de l'ici et maintenant, pour se diluer dans la vastitude de l'infini.

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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 14:09

Parfois on est tenté de se dire qu'une fois qu'on aura obtenu telle chose, on n'aura plus d'excuse pour ne pas être heureux. Mais vous savez le risque à obtenir ce que l'on veut ? C'est de se rendre compte que ce n'est pas en obtenant ce qu'on désir qu'on en devient forcément plus heureux. Et il est plus confortable de vivre pas tout à fait heureux avec l'espoir de le devenir plutôt qu'en ne sachant plus quoi faire pour pouvoir l'être. Et il y a une part de nous qui est au courant de cette contradiction, et qui alors fait de son mieux pour retarder l'obtention de nos convoitises. Histoire que l'on puisse se perdre, le temps d'une vie, à courir après nos caprices.

Sauf que le véritable bien être est plus subtil. Réussir à incarner qui on est dans notre fort intérieur. Mais qui sommes nous ? Et qu'est-ce que la vie ? A répondre à l'urgence de nos contraintes quotidiennes, on en oublie de prendre du temps pour les questions de fond. Je voudrai me délaisser de tout ce qui n'est pas moi, de tout ce qui n'est pas la vie, pour laisser place à la vie, et me retrouver moi. Alors je fais de mon mieux pour abandonner mes désirs de surface, je prends du temps pour rester dans l'intimité de mon être, et je laisse émerger mes aspirations les plus profondes.

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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 13:45

Les actions de chacun impactent au delà de notre individualité. Nos proches, ce qu'ils ont été auprès de nous, continue d'exister au travers de ce que l'on est aujourd'hui. Notre histoire est marquée du passage de ceux qui nous ont entourés.

Alors je me rends compte du danger de la rancoeur, du ressentiment, du dégoût que l'on peut parfois ressentir à l'égard de quelqu'un qui a été proche. Ces émotions nous coupent du sentiment plus profond qu'il y a en nous. Et refuser d'aimer une personne qui a impacté notre vie, c'est refuser d'aimer la part de cette personne qui existe encore en nous. Ne plus aimer une part de son entourage, ne plus aimer une part de son histoire, c'est ne plus aimer une part de soi.

Je me suis fait aveugler par l'émotion. Si le sentiment se fait parfois plus discret, c'est qu'il est enraciné plus profondément. Alors que l'émotion qui fait rage à la surface, finit par se faire emporter par le vent. Alors je respire, pour que l'émotion s'envole, et laisse place à la bienveillance qui existe au fond de moi.

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10 mai 2016 2 10 /05 /mai /2016 11:49

Pourquoi sommes nous parfois si dur avec nous même ? Éléments de réponses...

Ce qui existe à l'extérieur existe à l'intérieur de nous. Préférons nous un maître d'école rigide, autoritaire, rabaissant, réprobateur, ou un maître conciliant, bienveillant, intentionné ? Notre société répond : œil pour œil, dent pour dent. Avons nous foi qu'on doit faire avancer les gens sur le droit chemin par la réprimande ?

Ce schéma d'autorité par les coups de bâton existe parfois aussi en nous, et vient se retrouver dans nos modèles relationnels, y compris dans la relation à nous même. Pourquoi nous arrive-t-il de se rabaisser, de ruminer le passé, de se dire à la suite d'une erreur qu'on est minable, ou de s'en vouloir d'avoir agît ainsi ? Alors même que ça ne changera rien à ce qui a été fait ?

Je suggère que ce comportement peut reposer sur la croyance que c'est par la punition qu'on va se faire entrer dans le droit chemin. Ainsi, en l'absence d'autorité extérieur, on va la reproduire à l'intérieur, dans notre vie quotidienne. On se punit par le dénigrement de soi, on rentre en guerre avec soi même, dans l'intention de se corriger. Et de la même manière, on peut éventuellement faire des reproches à ceux que l'on aime dans l'intention de les faire avancer vers ce qui nous semble juste.

Alors je nous suggère ceci. Ayons foi en la bienveillance, l'indulgence et la douceur, plutôt qu'en la contrainte et la punition. De ne plus croire que l'incarcération d'un délinquant va le rendre meilleur, mais compter sur l'écoute et la prise en compte des souffrances et des besoins criants qui sont maladroitement exprimés. Qu'on ne peut se réconcilier dans le rejet. Que ce n'est pas en se rabaissant que l'on se fait grandir.
Dans la non-dualité, par delà le bien et le mal, laissons moins de place à la peur, en prenant l'habitude de nous appuyer sur l'élan du coeur.

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10 mai 2016 2 10 /05 /mai /2016 11:47

J'ai une formidable nouvelle mes amis ! Elle me touche moi, mais finalement elle nous concerne tous.
Je me sentais pas super bien partis dans ma vie, mais je m'en sors. Je trouve du sens, je m'épanouis. C'est inouï ! C'est joyeux, c'est simple, c'est vivant.
J'évolue. Bien sûr c'est pas toujours confortable. C'est parfois même très douloureux. Mais ça reste formidable !

Rentrons dans le sujet. Pour commencer, qui sommes nous, où sommes nous ? Analysons rationnellement tout ça avec notre bagage intellectuel.

J'ai un corps. Programmé pour la survie, avec ses peurs. Son seul soucis est de survivre et d'avoir une descendance. Un amas de cellule fruit du hasard à ce qui paraît. Pour l'aider il a un cerveau, très intelligent. Enfin c'est lui qui le dit. Ce cerveau tente de faire face rationnellement à un monde aux milliers de possibilités et de paramètres, un monde bien trop vaste pour lui.
Et bien sûr, on traîne tout un tas d'habitudes toxiques, de traumatismes d'enfance, de peurs, de fausses croyances, et le poids de notre histoire familiale. Tout en évoluant dans une société avec son lot de valeurs toxiques, une éducation imparfaite, et entourés de tout un tas d'individus paumés.

Voilà pour résumer mon humble étude psycho-humano-socialo-lol de ces derniers temps.

Et avec cette fine équipe de bras cassés, comment ça se fait qu'on puisse y arriver ? Ca fait presque un an que me voilà en période sabbatique, lâché dans la nature, avec toutes les possibilités du monde et tout les doutes que ça comporte. Et pourtant ? J'ai la sensation d'avoir vécu exactement ce qu'il me fallait vivre pour progresser à mon rythme. Je me sens sur la bonne voie. Grâce à des coïncidences, des rencontres et des idées magiques, des pensées qui viennent de nulle part. Une intuition surprenante.
Maintenant je le sais, j'en suis persuadé, et je me remercie de m'être fait confiance, et d’avoir fait confiance en la vie. Au delà de mon corps et de mon cerveau, il y a quelque chose qui chapeaute tout ça. Je suis guidé PAR MON ÂME, elle est là, elle existe, elle me parle, elle s'exprime au travers de moi. Elle me fait des signes, MON ÂME sait ce qui est bon pour moi. MON ÂME sait comment me faire évoluer.
Je ne me sens plus pauvre animal abandonné, livré à lui même dans sa jungle. Je ne suis pas qu'un animal, je suis humain, je suis divin ! Cet enthousiasme, c'est mon âme qui est ravie ! MON ÂME EST. JE SUIS MON ÂME. LIBRE, BIENVEILLANT, PUISSANT ET ÉTERNEL.

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 11:09

Avons nous réellement envie de ne plus souffrir ?

La paisibilité peut être déconcertante. Car quand on souffre, on est en lutte. On lutte contre ce qui fait entrave à notre bien être. Le sens de nos journées est évident. On cherche à s'en sortir, à ne plus souffrir. On cherche à terrasser l'ennemi.

Seulement l'emporter sur la souffrance, ne plus avoir de problèmes dans sa vie, signifie devoir faire face à une question bien plus vaste, bien plus flou. Cela signifie laisser de la place à ce sentiment d'insignifiance, à cette tentation de voir dans l'existence qu'un grand vide. Un vide profond, profond comme l'infini noir de l'Univers.

Alors on lutte, car dans la lutte on sent qu'on est en vie, sans jamais vouloir réellement remporter définitivement cette bataille. Car remporter cette victoire, signifie devoir faire face à une nouvelle quête. Se retrouver soi, et délaisser tout ce qui n'est pas soi, tout ce qui n'est pas la vie. Car il est insupportable de voir que notre quotidien ne correspond pas à ses aspirations, et à la fois il est pénible et laborieux de dépasser nos peurs et l'inertie de nos habitudes.

Avons nous le courage de faire ce premier pas dans cette longue marche, d'arpenter le chemin pour enfin incarner l'expression de qui on est ?

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16 janvier 2016 6 16 /01 /janvier /2016 01:02

J'eus imaginé le monde féerique. Plein de belles intentions. Avec des relations humaines pures. Une affection sincère qui lie les individus, dont les danses charnelles en sont l'expression. Qu'elles soient animées des plus beaux sentiments, qu'on ai de la gratitude pour ce qui nous arrive, que l'on aime profondément notre partenaire et qu'on la ou le remercie d'être là. Que l'on prenne soin à ce que les choses se passent pour le mieux. Que l'on mette de l'effort à rendre les choses belles, pour que l'acte soit beau. L'union sacrée. Loin des actes égoïstes, mensongers ou mesquins, l'accord qu'on ne doit pas bafouer.

 

Amour mal aimé. Veut-on tuer le poétique par peur de se voir poète ? Méfiant, retenu par la peur, pour se protéger on ne veut pas y croire. Certain que l'enchantement innocent ne renferme jamais que souffrance et désillusion. Veut-on créer l'enfer ? Là où il n'est permis qu'aux aveugles de croire en la beauté. Abandonnant l'idée même de mimer un peu de vertu. Que tout soit sale, et que tout le monde le sache, ça a toujours été comme ça. Et il faut l'accepter.

 

Non. Je conserverais ma pureté. Je refuse d'embrasser sans aimer. Je prends le risque d'aimer l'inconnue, de m'y dévouer et de lui offrir sans condition et sans ménagement tout l'amour que je peux lui porter. Aujourd'hui j'ai compris, que tout contact charnel n'assumant pas sa dimension sacré pourrai me blesser. L'âme ressent le besoin d’expérimenter la beauté, mais a-t-elle trouver un monde qui y soit prêt ? Arrivons nous à créer un espace pour nous exprimer, au delà de la mécanisation, de la rationalisation, du désenchantement ?

 

Pouvons nous rêver, pouvons nous créer, un monde où les gens sont capables de s'aimer avec simplicité, avec sincérité. Parce qu'il est trop simple de dire que l'amour c'est compliqué. Sommes nous prêt à rester en bon termes avec le sexe opposé ? Qu'on ai pas besoin de cacher nos intentions, puisque nos intention sont merveilleuses, et que l'on souhaite simplement vivre et construire quelque chose de merveilleux.

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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 02:12

" Que celui qui combat les monstres prenne garde dans sa guerre, a ne pas devenir un monstre lui même. A force de plonger trop longtemps votre regard dans l’abîme, c'est l’abîme qui entre en vous. "


Je fais de mon mieux pour faire le boycott de l'horreur, mais hier je me suis fait avoir. Sur facebook, une vidéo s'est animée sans m'en demander la permission et, en empruntant le chemin de mes yeux, pénétra mon esprit, pour y graver des atroces scènes de crimes de guerres. Horrifié et révolté par cette intrusion indésirable, je quittai la page en moins d'une seconde, dans l’urgence de cesser de m'imprégner de toute cette inhumanité, seulement le mal était fait. J'en fus l'expérience pendant mon sommeil, lorsque ces mêmes images de corps démembrés polluèrent mes rêves...

Je me réveillai alors, perturbé par l'expérience de ces cauchemars morbides. Et pensif, je m'interrogeai sur le sens de ces songes inhabituels. Mais alors je me rappelai de ce minuscule extrait de vidéo visionné la veille, et le lien me sembla alors évident... Cette pensée me glaça le sang. L'idée que mes rêves, cette place d'une intimité si particulière, puissent être souillés de la sorte par l'immondicité de leur société, m'était insupportable. Je me sentais comme violé.

Mais le plus terrifiant, c'est que ça va plus loin. Ca me confirme une intuition qui m'apparait maintenant certitude. Toutes ces images macabres auxquelles on assiste à la télé, sur internet, dans les films, les séries, voire même ces jeux vidéos au réalisme bien trop réaliste, ça écrit des choses en nous, pour finalement rester graver dans notre inconscient. Ca nous atteint gravement, on n’est naturellement pas censé être témoins de tant de scènes sordides au quotidien. A force de s'exposer à n'importe quoi, nous nous faisons pourrir l'esprit, le coeur et l'âme par toute cette perversion.

Il est bien connu que les médias de masse pratiquent sciemment l'art de la désinformation, mais ils ne s'arrêtent pas là. J'affirme que ces maîtres de l'information diffusent du contenu gore et violent pour nous salir l'esprit, tout aussi volontairement. Vous croyez que c'est anodin toutes ces histoires au journal télé d'attentats, d'accidents dramatiques, d'assassinats dégueulasses? Et puis toutes ces séries qui tournent autour du meurtre? Non seulement nos élites dégénérées veulent un peuple d'ignorants, mais ils tiennent aussi à faire de nous des dépravés. N'est-ce pas choquant de remarquer tant de fascination pour le gore?

J'ai bien peur qu'on soit petit à petit en train de perdre notre pureté et qu'on en sous estime le drame, à force de côtoyer l'horreur nos coeurs finissent glacés. Ca nous coupe de notre sensibilité, de l'empathie, ça banalise l'intolérable, nous pousse à la résignation, et ça nous rapproche du cynisme, si ce n'est de la violence.. Pour finalement nous éloigner de ce qui fait de nous des Humains, des êtres nobles et puissants.

De la même manière que la société s'est rendue service en décrétant l'arrêt des exécutions sur la place publique, suite à quoi la criminalité a significativement baissée, il nous faut nous déconnecter de tout l'abjecte que dégage notre monde, pour pouvoir nous retrouver. Ainsi, on pourra regagner la pureté que nous avons au moins tous un jour possédé.

Ne laissons pas notre beauté s'en aller...

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